« (…) Le regard est d’abord attiré par les bras, aux trajets sobres, doux et graphiques. Puis les yeux se posent sur les dos cherchant à les interpréter comme des visages inaperçus. Paradoxalement, l’unisson encore intact invite à cher cher les différences dans le commun : une légère cyphose chez Katia, une saillance des épaules chez Clémentine, une cambrure chez Marie et le dos étonnamment plat de Fabritia. (…) Des Boticelli s’intercalent avant que défilés et girations viennent lentement semer la pagaille dans les mises en ordres, l’équilibre des corps et la sérénité des têtes. »
— Philippe Guisgand, mars 2017